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jeudi 20 octobre 2011

Additifs alimentaires et cosmétiques d' origine animale


Quand on est végétarien, il est difficile de s’y retrouver parmi les colorants, les conservateurs, les anti-oxydants, les émulsifiants, les stabilisants et les révélateurs de goût.

Ceux-ci sont souvent mentionnés soit par leur nom scientifique, soit par un code : ce sont les fameux « E » suivis de 3 chiffres, que l’on traque quand on refuse tout produit d’origine animale.
En Europe, il en existe au total 3800.


image : formation-et-cours.com


Voici la liste (à compléter certainement) des additifs d’origine animale que l’on peut trouver dans les produits alimentaires et cosmétiques :


E120 : cochenille ou acide carminique : colorant extrait d’insectes coccus cacti.

E236 : acide formique : extrait du corps des fourmis mais peut aussi être d’origine végétale.

E270 : acide lactique : provient du lait.

E322 : lécithine : extrait d’œufs, de sang ou de tissu névralgiques. Il existe aussi de la lécithine de soja.

E441 et E485 : gélatine : obtenue en faisant bouillir tendons, os et ligaments.

E471*: composé de mono et di-glycérides d’acides gras, cet additif est issu de graisses et produits animaux (panse de bœuf…) ; Il sert comme émulsifiant, agent d'enrobage, gélifiant, antioxydant et support pour colorant.

E542 : phosphate de calcium : extrait d’os.

E626 : acide guanylique : issu principalement de levures mais peut aussi provenir de sardines et de viande.

E631 : sodium d’ inosinate : extrait de viande ou de sardines séchées.

E640 : glycine : issue de la gélatine.

E901 : cire d’abeilles.

E904 : shellac : issu de la sécrétion d’une cochenille asiatique coccus lacca.

E913 : lanoline : graisse provenant du mouton ; excrétée par la peau et extraite de la laine. (le site aromazone propose du substitut végétal de lanoline).

E920-21 : cystéine et dérivés : dérivés de protéines animales.

E951 : aspartame : l’acide aspartique qui entre dans sa composition n’est pas toujours végétale.

E966 : lactitol : fabriqué à partir de sucre de lait.

E1000 : acide cholique : extrait de la bile du bœuf.

E1105 : lysozyme : extrait des œufs de poule.

Albumine : issue des oeufs mais aussi parfois du lait, des muscles ou du sang.

Allantoïne : acide urique provenant des mammifères.

Ambre gris : substance parfumée issue de l’intestin des cachalots. Employé comme fixatif pour les parfums et comme arôme dans l’alimentaire.

Bifidus : composant de la flore intestinale des nourrissons, utilisé industriellement comme ferment lactique.

Bile : liquide sécrété par le foie.

Blanc ou huile de baleine : huile issue de la tête des cachalots ou des dauphins. Utilisée en cosmétologie, dans l’industrie du cuir et dans certaines margarines.

Castoréum : issu des sécrétions glandulaires du rat musqué et du castor (à ne pas confondre avec « castor oil » qui est de l’huile de ricin).

Caséine : protéines de lait.

Cellules fraîches : prélevées sur des fœtus d’animaux.

Chitine : issue des carapaces des crustacés.

Civette : sécrétion odorante obtenue en stimulant par la torture un mammifère appelé civette.

Collagène : protéine fibreuse des vertébrés ; très courant en cosmétologie. (Il en existe du végétal chez aromazone).

Elastine : provenant de l’aorte et des ligaments du cou des bovins.

Gelée royale : sécrétion des glandes pharyngiennes de l’abeille servant à nourrir les jeunes larves.

Isinglass : gélatine fabriquée à partir de vessies de poissons, utilisée pour clarifier les vins et les bières.

Kératine : provient des ongles, poils, plumes de divers animaux. (Il existe de la phytokératine chez aromazone).

Lactose : sucre du lait.

Musc : obtenu à partir des glandes abdominales d’ un cervidé, le chevrotain porte-musc mâle. Couramment utilisé en parfumerie.

Noir animal : os calciné employé pour raffiner certains sucres.

Pepsine : issue de l’estomac des cochons, utilisé comme coagulant.

Petit-lait : provient du lait ; souvent rencontré dans les biscuits et les bonbons.

Présure : provient de l’estomac des veaux nouveau-nés qui sont ainsi sacrifiés pour la fabrication du fromage, c’est un coagulant ; il existe pourtant de la présure végétales mais elle est rarement utilisée.

Propolis : gomme recueillie par les abeilles pour la construction de la ruche ; on en rencontre essentiellement dans les produits cosmétiques.

Saindoux : graisse animale.

Suif : graisse animale que l’on retrouve généralement dans les bougies et les savons.


*Chimiquement les acides gras d'origine animale ou végétale sont identiques.
Par conséquent, les producteurs choisissent les huiles les moins chères pour fabriquer ces graisses. Il s'agit généralement d'huiles végétales. Les graisses animales ne sont cependant pas exclues.
Malheureusement, il n'est pas possible de distinguer les acides gras d'origine animale et végétale dans le produit fini. Seul le fabriquant peut fournir des informations sur l'origine.
Ainsi, les additifs suivants sont susceptibles d’être d’origine animale :
E430, E431, E432, E433, E434, E435, E436, E470, E71, E472, E473, E474, E475, E476, E477, E478, E479, E481, E482, E483, E484, E491, E492, E493,E494,E495, E570, E572.


D'autres additifs se rajoutent à cette liste ; ce sont ceux dont l' origine est douteuse.
Ils peuvent en effet être d' origine animale, végétale ou synthétique mais ce n' est pas indiqué sur l' emballage du produit fini.
Il s' agit de : E101, E237, E238, E325, E326, E327, E585, E920.
  

Enfin, les additifs suivants ne sont pas végétariens mais je n’ en ai pas trouvé l’ origine :
E627, E630, E632, E633, E634,  E635, E1105.



Si vous connaissez d’autres additifs d’ origine animale, envoyez-les moi par mail, je les ajouterai à la liste.


image : aupaysdenounours.com


               http://veganrevolution.free.fr/
               http://fr.wikipedia.org/
               http://www.food-info.net/

lundi 17 octobre 2011

conception


Le système de phytoépuration que nous avons choisi est un filtre planté de macrophytes (plantes aquatiques) à écoulement verticale.

Il se présente comme un grand rectangle de 12 mètres carré dans notre cas, à l’intérieur duquel les plantes (iris, joncs et salicaires) sont plantées dans un substrat.
Il n’y a aucune surface d’eau libre ; les eaux sont filtrées dès leur arrivée et restent sous la surface des granulats jusqu’à ce qu’elles soient infiltrées.

Ce rectangle est divisé en deux lits dans lesquels l’eau est répartie grâce à un chenal de répartition.

Voici le schéma de l'installation vue du dessus :




Une semaine c’est un lit qui est alimenté et la semaine suivante c’est l’autre lit (grâce aux vannes guillotines).
Cette alternance hebdomadaire est effectuée manuellement tout au long de l’année.

Chaque lit fait 6 mètres carré, 80cm de haut et comporte un substrat de 60cm d’épaisseur composé de haut en bas : de sable, de gravillons et de graviers.

Vue de profil :




Les bordure des filtres doivent être stabilisées.
Selon les goûts de chacun cela pourra être un pourtour en terrasse bois, un dallage…

En sortie du filtre, les eaux assainies alimentent une zone d’infiltration appelée exutoire.
Il s’agit d’un fossé évasé et planté de différentes espèces : saules, osiers, sureaux, frênes, joncs, iris…
L'eau poursuit ensuite naturellement son chemin dans la terre.



image : zeblog.majest.net

Pourquoi ? comment ?


POURQUOI AVOIR CHOISI LA PHYTOEPURATION ?


Pour traiter les eaux usées de notre habitation, c’est-à-dire celles de la salle de bain, du lave-linge et celles de la cuisine (pour les toilettes, pas d’eau ! ce seront des toilettes sèches !) nous avons décidé d’installer une phytoépuration.

Nous avons choisi ce système d'assainissement pour plusieurs raisons :

- le « tout-à-l’égout » doit passer devant chez nous dans deux ans.
Nous aurions donc été obligé d’ installer un système d’assainissement traditionnel (type épandage) sur notre terrain juste pour deux ans, sachant qu’une fois cette installation réalisée, la partie de terrain concernée est condamnée et il n’est plus possible de faire ce que l’on veut à cet endroit à part semer de la pelouse.

- le prix : une phytoépuration coûte un peu moins cher qu’une installation d’assainissement classique mais il est surtout possible de réaliser l’installation soit-même, ce qui diminue considérablement son coût.
Cette filière plantée est d’autant plus économique qu’ elle est complètement autonome et a une durée de vie inégalable ; on trouve en Angleterre des phytoépurations âgées de plus de 60 ans et toujours en état de marche !

- l’aspect esthétique : C’est un petit écosystème à part entière avec une faune et une flore diversifiée.
Cette installation est paysagée ce qui valorise un investissement initialement destiné au traitement des eaux usées.

- c’est écologique : la phyto-épuration  permet de réduire la pollution des eaux de surface et des nappes phréatiques.

- l’ efficacité : la phytoépuration traite aussi les phosphates et les nitrates, ce que ne fait pas un système d’épuration traditionnel.

- l’idée de ne plus dépendre de véolia aussi nous a plu !!!


image : eauvergnat.fr



COMMENT CA MARCHE ?


Le principe de la phytoépuration est simple et calqué sur le processus épuratoire des écosystèmes naturels.

En effet, ce système d’assainissement écologique utilise les plantes pour traiter les eaux usées.
Ce sont des plantes aquatiques (macrophytes).

Il y a des iris des marais :

iris pseudoacorus
                                                                                                                                      image : francini-mycologie.fr


des salicaires :

lythrum salicaria
                                                                                                                                              image : wallogreen.com
        
et des joncs des chaisiers  :

scirpus lacustris
                                                                                                                                                       image : bosland.fr


Ce ne sont pas les plantes en elles-mêmes qui dépolluent mais les micro-organismes qui vivent au niveau de leurs racines et rhizomes.

Ces micro-organismes sont en fait des bactéries qui consomment les différentes molécules contenues dans les eaux usées et les rendent ainsi assimilables par les plantes.

En contre-partie, les plantes fournissent de l’oxygène aux bactéries par leurs racines.

C’est simplement en mettant à profit ce que nous offre la nature que la phytoépuration rend à la terre une eau complètement dépolluée.


image : fleurduzen.over-blog.com

mardi 4 octobre 2011

Electricité (2ème partie) : septembre 2011


Une fois le fermacell posé, nous avons pu installer les boîtiers de prises et d'interrupteurs :











Quelques temps plus tard, nous avons installé le tableau électrique et les différents caches :





Electricité biocompatible


L’ électricité biocompatible consiste en un câblage utilisant des gaines blindées.

Nous avons utilisé les gaines de la marque flex-a-ray :

                                      
image : expercem.com

Elles sont munies d’une enveloppe métallique électriquement conductrice qui lui confère des propriétés de blindage contre les rayonnements électriques.

C’est dans ces gaines que passent les fils électriques :

                                           


Des clips spéciaux adaptés à la gaine flex-a-ray permettent de raccorder la gaine aux fils de terre, ce qui est indispensable pour supprimer tout champ électromagnétique :


  image : geotellurique.fr

Nous avons également peint la surface extérieure des boîtiers de prises et d’interrupteurs avec une peinture faradisée :

   image : materiaux-ecologiques.kenzai.fr

C’est une peinture à dispersion conductrice à base d’acrylate et de graphite.
Elle est sans solvant est s’applique au pinceau.

Il existe des boîtiers déjà faradisés à l’achat mais ils coûtent très chers, c’est pourquoi nous les avons peint nous-même :


en haut : un boîtier sans peinture et en bas : un boîtier peint


Cette peinture permet d’assurer la continuité du blindage de la gaine en protégeant des champs électromagnétiques et en évacuant les charges statiques.
        
                                    
Boîtiers installés :






Toujours dans le but de nous protéger des champs électromagnétiques, les prises des appareils électriques sont équipées d’une connexion à la terre et dans la cuisine, nous avons préféré une plaque au gaz aux plaques à induction qui sont de grandes émettrices de champs magnétiques.


image : ideca-aaif.com

Champs électromagnétiques et impacts sur la santé


CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES


Notre maison étant en bois, pour réaliser l’ électricité, il a fallu prendre en compte le problème de la pollution électromagnétique.

En effet, les maisons à ossature bois sont particulièrement sujettes à l’ électromagnétisme car le bois est moins conducteur que la pierre ou la brique.

On  trouve deux sources de pollution générées par la distribution électrique dans l’habitat :

- Les champs magnétiques :
Ils sont principalement émis par de l’appareillage muni de transformateur (radio-réveil, chargeur de batterie pour appareil portatif), les téléphones sans fil, les téléphones portables, la liaison sans fil en règle générale comme la WIFI.
Par ailleurs, certains appareils électroménagers comme les micro-ondes et les plaques à induction mais également les ampoules basse-consommation sont aussi des sources de champs magnétiques néfastes pour la santé.

                                         
image : philibertlacouane.centerblog.net

- Les champs électriques :
Ils se trouvent dans tout ce qui conduit l’électricité (c’ est la distribution par fils).
Tant qu’il y a de l’électricité dans un fil électrique, il y a un champ électrique ; une lampe de chevet éteinte peut générer un champ électrique.
Certains matériaux ou revêtements diffusent ces champs, c’est le cas du bois, des peintures à base de plomb ou de produits conducteurs (aluminium, ferrite, etc).
Ces champs électriques sont aussi néfastes pour la santé et le bien-être.

                                                 
                                                                                       image : developpementdurable.com



IMPACTS SUR LA SANTE


Les champs électromagnétiques sont de plus en plus présents dans notre environnement et selon leur intensité, leur fréquence et la durée d’exposition ils peuvent perturber le fonctionnement des organismes vivants.
Les personnes y étant sensibles sont d’ailleurs de plus en plus nombreuses.

Il apparaît au travers plusieurs études médicales que l’exposition aux pollutions électromagnétiques aggraverait les problèmes comme la nervosité, les troubles du sommeil, les problèmes de peau, les pathologies sanguines… en affaiblissant le potentiel immunitaire.


    image : unalic.fr

A long terme, une telle exposition peut donc avoir un grave impact sur la santé et certaines études ont mis en évidence un lien entre l’exposition aux champs magnétiques et l’apparition de maladies comme la leucémie infantile et la maladie d’ Alzheimer.


   image : popstyle-web.fr

Une exposition prolongée aux champs électromagnétiques peut aussi augmenter les risques de maladies respiratoires, en raison de l’augmentation du dépôt dans les poumons de fines particules chargées d’électricité.

La nature des problèmes de santé est différente d’une personne à l’autre de même que la sensibilité à l’ exposition électromagnétique ; on ne peut pas l’accuser d’être responsables de tous nos maux !

Mais face à ces craintes et ces doutes nous avons préféré tout mettre en œuvre pour nous en protéger en optant pour une électricité bio-compatible.


     image : ampoule-lampe-led.com

dimanche 2 octobre 2011

Etanchéité à l'air


Outre une augmentation des consommations énergétiques, une mauvaise étanchéité à l’air provoque un inconfort thermique avec sensations de parois froides, de courants d’air, la détérioration du confort acoustique avec infiltration de bruits, des dégradations progressives du bâti.

Si la maison doit être étanche à l’air, elle doit aussi gérer correctement la vapeur d’eau produite par les activités à l’intérieur du logement pour éviter les risques de condensation.

La particularité principale des isolants écologiques est qu’ils ne sont pas hermétiques ; ils vont laisser respirer la maison grâce à leurs qualités hygroscopiques.
L’humidité est régulée : lorsqu’il y en a trop, l’isolant la stock et la restitue lorsqu’il n’y en a pas assez.
Un peu comme pour les vêtements de sport, il faut un régulateur de vapeur à l’entrée : le frein-vapeur :




Ce n'est pas une barrière totalement étanche ; il va disperser lentement la vapeur en la diffusant sur la totalité de la surface, lui permettant ainsi d' être évacuée vers l' extérieur sans concentration et donc sans condensation.

La membrane d’étanchéité se pose à l’intérieur de la maison, sur la face intérieure (côté chauffé) de l’isolant, pour éviter le transfert d’humidité dans la paroi et sa condensation en partie froide :




Les lés doivent toujours se recouvrir de 10cm et être reliées entre eux par un adhésif adapté.
Ils sont fixés à l’ossature de la maison avec des agrafes, elles aussi recouvertes d’ adhésif.
Ceci est réalisé même dans les combles et jusqu’ au faîtage de la maison :




Tous les ouvrants (portes et fenêtres) et chaque poutre sont entourés du même adhésif, les jonctions étant à réaliser avec soin :




La maison est ainsi complètement enveloppée.

Isolation intérieure


LA LAINE DE BOIS POUR LES MURS


c’ est un isolant très dense élaboré à partir de fibres de bois et présenté sous forme de panneaux rectangulaires existant en plusieurs épaisseurs :

image : lamaisonboisdenous.over-blog.com





Pour les murs nous avons mis des panneaux de 14 cm d’ épaisseur et pour les plafonds des panneaux de 20 cm d’épaisseur.

Nous avons choisi la laine de bois pour isoler les murs pour plusieurs raisons :
- c’ est un matériau sain et recyclable
- il n’ y a aucun tassement dans le temps
- c’ est la meilleure protection contre la chaleur estivale
- c’ est un remarquable isolant phonique
- l’ hygrométrie est régulée

Sa pose est relativement simple : il faut mettre les blocs de laine de bois en force entre les montants de l’ossature de la maison :






  
A la différence de la laine de roche, c’est un matériau inoffensif pour ceux qui le mettent en œuvre, il n’y a pas besoin de porter des gants pour le manipuler.



 LA LAINE DE BOIS POUR LES CLOISONS


L’intérêt d’isoler les cloisons à l’intérieur de la maison est surtout phonique.
Pour cela, à l’intérieur de chaque cloison, nous avons mis des panneaux de laine de bois de 4 cm d’épaisseur :





  

LE PHALTEX POUR LE PLANCHER 


Comme pour les cloisons, entre deux étages chauffés, c’est surtout l’aspect phonique de l’isolation qui est recherché.

Pour réduire de manière importante la propagation des bruits de voix, de pas et d’ impacts sur le sol, nous avons utilisé des plaques de phaltex (ce sont les plaques grises sur les photos suivantes).
Il s'agit de plaques de bois feutré de 5 mm d’épaisseur (plusieurs épaisseurs existent).

Nous avons posé une première couche de phaltex sur le lambris (qui constitue notre plafond du rez-de-chaussée) avant de mettre les plaques d’OSB (panneaux de bois reconstitué), puis une deuxième couche de phaltex sur l’ OSB avant d’installer le plancher flottant :